Nos engagements
DES FEMMES, DES HOMMES, UNE PLANETE !
Lorsqu’on mène un projet de restauration d’un ancien Mas Cévenol, on est tiraillé entre les traditions architecturales et la modernité de ce qu’on a à notre disposition.
Dans notre esprit, « tradition » signifie conserver l’esprit des lieux, une certaine mémoire également de la vie d’antan. La modernité, pour nous, apporte des alternatives pour sublimer le lieu, mais pas seulement.
Ce Mas a été construit en partie au 18e siècle, les besoins et les problématiques étaient évidemment très différentes de celles d’aujourd’hui.
Aussi, il nous semble qu’allier tradition et modernité transporte cet ancien « édifice » dans son temps, lui donne le pragmatisme pour traverser sans encombre les enjeux du 21e siècle.
Notre démarche écologique, qu’on appelait sans doute « bon sens » à l’époque de la création de ce Mas du Verdier est aujourd’hui une nécessité, voire une évidence.
Il nous a donc fallu du temps, de l’énergie et une bonne dose de force de conviction pour embarquer toutes celles et ceux qui nous ont aidé à concrétiser ce projet.
Tout d’abord, notre architecte, avec qui nous avons revu complètement les fonctions et les circulations dans les bâtiments et bien plus. Un grand merci à lui, sans qui ce projet n’aurait pu voir le jour. Sa patience et ses conseils nous ont aidé à avancer, c’est une belle rencontre humaine que ce type de projet permet.
Nos artisans et entreprises, sans doute, pas toujours convaincues par nos choix mais qui ont joué le jeu et qui ont pris du plaisir à travailler dans ce lieu magique. C’est finalement le fruit de leur travail que vous découvrirez lorsque vous arriverez au Verdier. Merci à eux !
Avant de parler écologie, on parle aventure humaine, rencontre, synergie. Et si on vous disait que les plus belles réalisations au Verdier se sont faites, en discutant, sur un coup de tête, en confiance…
Ce que vous verrez au Verdier est le résultat de tout cela, de toutes les interactions humaines et de leurs savoir-faire.
Ici, tout est possible !
Évidemment, ce projet est écologique, ça coule de source, comment envisager de travailler autrement aujourd’hui…
Tout ici est passé au filtre de l’écologie. Nous avons dû parfois faire des concessions pour avancer. N’empêche, ce projet est écologique !
Qu’il s’agisse des materiaux de construction, l’isolation naturelle ou issue du recyclage, les peintures, les enduits, le bois, la pierre, tout ce qui est entré dans ce chantier a été reflechi et minutieusement sélectionné pour répondre à notre cahier des charges.
Plus encore, les amenagements et les équipements ont fait l’objet de la même attention et franchement quel boulot de decrypter toutes les fiches techniques pour vérifier conception, production, lieu de production, acheminement, etc.
Enfin, les ressources que nous utilisons, l’eau l’energie, le traitement des eaux uséees, font également partie de notre démarche écologique.

NOTRE FOURNISSEUR D’ELECTRICITE
Il est local et fournit uniquement l’Occitanie dont nous faisons partie.
Le mix énergétique se compose majoritairement d’hydro-électricité, d’un peu d’électricité provenant de la méthanisation et est complété, en journée, par du photovoltaïque.
La gestion des déchets
Le 0 déchet, il faut se le dire, on en est encore loin ! On y pense !
Pendant le chantier, il faut l’avouer il y a des déchets, voire du gaspillage.
On a nettoyé sans relâche notre chantier afin de rien enfouir dans le sol.
Ça me fait penser qu’on avait de l’amiante et on a fait traiter ces déches par une entreprise spécialisée, un sacré chantier à lui tout seul !
Donc notre chantier a été relativement propre tout au long des travaux. Plus un chantier est propre et plus les personnes qui y travaillent tentent de le laisser comme ils l’ont trouvé.
En général, les conditionnements et autres emballages représentent beaucoup de déchets lorsqu’on équipe une maison d’hôte. Nous avons fait notre possible.
Soyons clair, nous pratiquons le tri sélectif depuis toujours. Il est évident qu’un tri des déchets est organisé au Verdier. Notre objectif principal consiste donc à agir sur la quantité de déchet.
Par exemple tout l’organique est composté. Pour le reste, dès notre ouverture, nous mènerons des actions visant à réduire nos déchets non organiques.
Le 0 déchet, on en est encore loin ! On y pense !
Pendant un chantier, la gestio des déchets est complexe.
On a nettoyé sans relâche notre chantier afin de rien enfouir dans le sol.
Par exemple, n avait de l’amiante , que l’on a fait traiter par une entreprise spécialisée : un sacré chantier à lui tout seul !
Donc notre chantier a été relativement propre tout au long des travaux. Et qu’on se le dise, plus un chantier est propre, plus les personnes qui y travaillent tentent de le laisser comme ils l’ont trouvé.
En général, les conditionnements et autres emballages représentent beaucoup de déchets lorsqu’on équipe une maison d’hôte. Nous avons fait notre possible.
Nous pratiquons le tri sélectif depuis toujours. Il est évident qu’un tri des déchets est organisé au Verdier. Notre objectif principal consiste donc à agir sur la quantité de déchet.
Par exemple tout l’organique est composté. Pour le reste, dès notre ouverture, nous mènerons des actions visant à réduire nos déchets non organiques.
Le 0 déchet, il faut se le dire, on en est encore loin ! On y pense !
Pendant le chantier, il faut l’avouer il y a des déchets, voire du gaspillage.
On a nettoyé sans relâche notre chantier afin de rien enfouir dans le sol.
Ça me fait penser qu’on avait de l’amiante et on a fait traiter ces déches par une entreprise spécialisée, un sacré chantier à lui tout seul !
Donc notre chantier a été relativement propre tout au long des travaux. Et qu’on se le dise, plus un chantier est propre, plus les personnes qui y travaillent tentent de le laisser comme ils l’ont trouvé.
En général, les conditionnements et autres emballages représentent beaucoup de déchets lorsqu’on équipe une maison d’hôte. Nous avons fait notre possible.
Soyons clair, nous pratiquons le tri sélectif depuis toujours. Il est évident qu’un tri des déchets est organisé au Verdier. Notre objectif principal consiste donc à agir sur la quantité de déchet.
Par exemple tout l’organique est composté. Pour le reste, dès notre ouverture, nous mènerons des actions visant à réduire nos déchets non organiques.
Le 0 déchet, il faut se le dire, on en est encore loin ! On y pense !
Pendant le chantier, il faut l’avouer il y a des déchets, voire du gaspillage.
On a nettoyé sans relâche notre chantier afin de rien enfouir dans le sol.
Ça me fait penser qu’on avait de l’amiante et on a fait traiter ces déches par une entreprise spécialisée, un sacré chantier à lui tout seul !
Donc notre chantier a été relativement propre tout au long des travaux. Et qu’on se le dise, plus un chantier est propre, plus les personnes qui y travaillent tentent de le laisser comme ils l’ont trouvé.
En général, les conditionnements et autres emballages représentent beaucoup de déchets lorsqu’on équipe une maison d’hôte. Nous avons fait notre possible.
Soyons clair, nous pratiquons le tri sélectif depuis toujours. Il est évident qu’un tri des déchets est organisé au Verdier. Notre objectif principal consiste donc à agir sur la quantité de déchet.
Par exemple tout l’organique est composté. Pour le reste, dès notre ouverture, nous mènerons des actions visant à réduire nos déchets non organiques.
Nos approvisionnements
Réfléchir sur nos approvisionnements c’est se poser la question de ce que l’on peut créer et produire sur place. Créer une boucle vertueuse où les déchets (organiques) représenteraient par exemple une ressource pour un jardin potager, pour un élevage de poules etc.
Nous y réfléchissons et nous ferons !

Notre mobilité
En Lozère, un des plus grands enjeux écologiques est la mobilité. On le sait, la mobilité représente une des sources de pollution la plus importante avec un bilan carbone non négligeable.
En zone rurale, la voiture est le moyen privilégié pour se déplacer.
Comment faire ?
Nous envisageons notamment les actions suivantes :
Changer de véhicule maintenant aurait comme conséquence d’ajouter des
véhicules dans le paysage alors que la solution est sans doute dans une autre
mobilité. Pour l’instant nous ne savons pas faire autrement. Donc, on conserve
nos deux véhicules et on limite tant que possible nos déplacements : Lorsqu’on
débarque en ville, on regroupe tout ce qu’on a à y faire. C’est donc souvent une
bonne journée de déplacement.
Nous avons pensé aux autres modes de transport comme le vélo. Compte tenu
du temps dont on a besoin et du relief ici, pour l’instant la voiture reste notre
principal moyen de déplacement.
Nous proposerons à nos hôtes des séjours sans voiture, notamment en allant
les chercher à la gare, en organisant le plus possible du covoiturage, etc.
En créant les conditions d’un séjour réussi sur place (activités sur place) nous
limitons ainsi le besoin ou l’envie de nos hôtes à prendre la voiture pour des
excursions.

LA RESTAURATION
Les matériaux d’isolation sont biosourcés, recyclés, naturels :
Au sol, nous avons travaillé avec le MISAPOR®. Il s’agit de verre recyclé. C’est un granulat avec un très bon coefficient d’isolation. Le liège est parfois préféré, nous aurions aimé nous aussi, ce qui implique d’exploiter les chênes lièges, nous avons choisi de recycler.
Pour isoler nos murs et nos toitures, notre choix s’est tourné vers le produit Biofib trio®. C’est également un matériau dont la qualité d’isolation thermo-acoustique est très élevé. Il est à base de fibre végétale, de chanvre, de lin et de coton.
Une partie des fibres est issue de l’agriculture française et le confort est notable aussi bien l’hiver que l’été, sans émission de Composé organique volatil (COV).
L’EAU
Le Mas du Verdier est alimenté en eau par une source, l’eau de ville ne parvient pas jusqu’ici.
Cette donnée nous oblige à une gestion précautionneuse de cette ressource si indispensable.
Comment nous sommes-nous organisé ?
En plus d’être conforme aux règlements de l’ARS (Agence Régional de Santé), nous avons mis aux normes l’ensemble de l’installation, du captage au stockage de notre ressource.
Ici, les anciens faisaient déjà attention à l’eau. En effet, à notre arrivée dans les lieux, le mas comprenait déjà deux grandes citernes, permettant la récupération des eaux de pluie des toits.
Dans cet esprit, nous avons :
Développé encore ce principe de stockage de l’eau de pluie issue des toits,
Conçu un système de chauffage sur la base de la géothermie,
Mis en place un système de traitement des eaux usées permettant de rendre une eau saine à la nature.
L’eau chaude sanitaire et le chauffage :
Comme vu plus haut, un des aspects de notre système de chauffage utilise la géothermie. Plus précisément, nous avons transformé une citerne de récupération d’eau de pluie en bassin accumulateur de calories :
Nous captons la chaleur du soleil sur un des toits par le biais de capteurs thermiques. Ces calories viennent directement chauffer des ballons (eau chaude sanitaire et chauffage). Le surplus de calories chauffe l’eau de la citerne et une Pompe à Chaleur fabrique de la chaleur à partir de cette eau chaude.
Nous procédons de la même manière en hiver avec notre chaudière à bois.
Afin de garantir un système énergétique vertueux, notre fournisseur d’électricité est local et l’électricité est à 100% renouvelable (Cf. Notre fournisseur d’électricité).
Le traitement des eaux usées : Le choix a été vite fait !
La meilleure des fausses sceptiques a deux inconvénients majeurs pour nous :
Une vidange tous les 4 ans est obligatoire et c’est un gros camion qui se charge de cette vidange,
Malgré tout, des odeurs désagréables apparaissent à certains moments de la journée
La phyto épuration prend alors tout son sens !!
La filtration des eaux usées se fait avec les plantes (des roseaux) et le bassin est dimensionné en fonction des besoins.
Le seul entretien se fait à l’approche du printemps où nous désherbons et coupons la partie sèche des roseaux.
Aucune odeur à aucun moment de la journée et en toute saison.

Alimentaires
Nos approvisionnements alimentaires sont à 95% bios de saison et le plus local possible.
Dans ce sens, nous mettons en place 2 actions :
Nous fournir dans une ferme très locale (à moins de 5 km de chez nous) qui produit des légumes en
Créé notre propre jardin potager.
NON Alimentaires
Concernant le non alimentaire, nous avons acquis des réflexes :
Rechercher des produits, les plus naturels possibles, locaux de préférence, bio,
Pratiquer la seconde main. Dans les deux sens du terme. Pour tout ce qui quitte le Verdier, nous avons fait en sorte de créer une seconde vie pour éviter le gaspillage. De même, avant d’acheter du neuf, nous regardons ce que l’occasion et la seconde main propose.
